Plus de 120 établissements scolaires et de nombreuses rues ou avenues portent son nom. Jean Zay, assassiné par la Milice française en 1944 est resté pourtant longtemps méconnu. « Un angle mort de la mémoire nationale », selon la formule de Gérard Boulanger qui lui a consacré un ouvrage en 2013 : « L'affaire Jean Zay : la République assassinée ».